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INSINUATIONS
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Blanc, greffier du siège présidial de Quimper-Corentin, en Bretagne, son frère, du tiers d'une maison, avec jardins, clos de vignes ef bois, en la grande rue, paroisse et terroir de Chevilly, du tiers de i5o arpents de terres, de 5 arpents et demi de prés, de 3 arpents de vignes et de 62 .sols 6 deniers tournois de rente aux terroirs de l'Hay, Chevilly, Bourg-la-Reine, Fresnes et aux environs, moyennant une rente de 100 livres tournois, à charge de payer le tiers d'une pension viagère de 29 li­vres aux Filles-Dieu de Paris, durant la vie de sœur Madeleine Le Blanc, et sous réserve par ledit Jean Le Blanc, le jeune, du droit «de son aller et venir.esdictz lieux pour sa ré­création et plaisir, toutes ét quantes fois qu'il luy plaira, sa vye durant». — 28 mars i55c) (fol. a83 v°).
5344. — Madeleine Bouland, veuve de Pierre Gronneau, payeur des œuvres du Boi, et auparavant veuve de Mathieu de Lolive, notaire au Châtelet de Paris : donation à Mar­guerin Lapostre, mercier, et à Bonne Over-nière, sa femme, d'une petite maison à Paris, rue -Sacalye* , à charge de payer chaque an­née à deux enfants, -l'un nommé Loys, es­tant de présent en la maison et collège des Jhesuistes en l'Université de Paris, et l'autre nommé Guillaume, estant de présent avec maistre Jaccjues Boulland, chambrier, à chas­cun desdictz enffans 100 solz tournois, leurs vies durant seullement». — 28 juillet 155g (en double) f fol. 287 et -88]-
5345. — Abel Régnier, compagnon tou- ' nelier, natif de Quiucy[-Ségy] en Brie, diocèse de Meaux, et Perrine Pasquier, fille de Nicolas Pasquier, laboureur à Saint-Maxent-en-Vimeux, diocèse d'Amiens : contrat de mariage. Par ce contrat Jean Pasquier, marchand, maitre ton­nelier, bourgeois de Paris, y demeurant, 'rue de la Serpente, oncle de la future, promet de payer aux futurs époux, la veille de leurs tr espou­sailles» , io écus d'or, -avec tous les habille-
mentz et linge filiaux de ladicte Perrine, fu--ture espouse, et une robbe neufve à poin-gnetz, telle que à l'estat desdictz futurs mariez appartient.., et de les loger, durant six années, dans une chambre, haute ou basse à leur choix, d'une maison lui appartenant, sise à Saint-Germain-des-Prés-lez-Paris, rue du -Coulom-biern, à condition d'y habiter en personne, sans louer à autrui. De plus ledit Jean Pas-"quier permet à Abel Régnier, «soubz son nom, de besongner dudict estat de tonnelier, tant, en ceste ville de Paris que partout ailleurs, où bon luy semblera, pour le temps et espace de six ans. .., et que toute la besongné que icelluy Régnier fera, sont et demeureront du tout au prouffict desdictz futurs mariez». — a5 novembre 1554 (fol. 289).
5346. — Jeanne Ferry, veuve de Martin Gillet, laboureur, demeurant à Deuil-sous-Montmorency : donation à Louis du Bray, pro­cureur et praticien à Argenteuil, et à Cathe­rine Gillet, sa femme, -pour la bonne amour que ladicte vefve a ausdictz mariez», d'une maison à Deuil - sous - Montmorency, donnant sur le carrefour de l'église, de vignes aux ter­roirs de Deuil et de Montmorency, et de terres au terroir de Fontenay en France (Fontenay-les-Louvres). — i558 (fol. 291).
5347.   — Gervais du Breil, étudiant en l'Université de Paris en la Faculté de médecine, demeurant rue Saint-Jacques, aux Quatre Fils Aymon, près l'église de Saint-Benoit : donation à Jean du Breil, seigneur de Daugers, au pays d'Anjou, son frère aîné, de tous ses biens, meubles et immeubles. — 2 5 septembre 155g (fol. 293).
5348.   — Guillaume Tarlant, marchand teinturier, demeurant à Saint-Marcel-lez-Paris, et Françoise Charnette, sa femme: donation mutuelle. — 4 octobre 1558 (fol. 294).
5349.   — Claude Gouffier, chevalier de